As-tu des trucs pour te sentir mieux? 🧘🏼‍♀️

Hier était une journée où j’avais les dents serrées…j’étais agacée, énervée, voire légèrement enragée…tu vois le genre de journée? Ben oui, c’est pas parce que tu fais un travail que tu aimes, que tu es dans un endroit idyllique, que tu fais ou guides des retraites, que tu pratiques le yoga régulièrement, que tu médites quotidiennement, que tu es à l’abri de te sentir comme ça. Les moins bonnes journées, les déceptions, les questionnements, les rencontres de personnes avec une mauvaise énergie, ça arrive à TOUT LE MONDE. Même si les réseaux sociaux nous montrent souvent que des exploits, des réussites, des gens heureux, des gens PARFAITS.
Pour en revenir à ma journée ben ordinaire d’hier…voici ce que j’ai fait. Souhaitant me soulager de mon inconfort global, j’ai déroulé mon tapis de yoga. Yes! J’ai fait une pratique de yoga, inspirée du moment. Je me suis mise au défi physiquement de façon raisonnable mais suffisamment pour sentir que j’avais le contrôle de mon corps. Et là je le dis tout de suite, j’utilise le mot « contrôle » de façon positive. Ce contrôle sur mon corps a peu à peu amené une sensation de contrôle sur mon esprit. C’est ce dont j’avais besoin. Ralentir la roue de mes pensées, la spirale de négativité, revenir vers moi, vers mon souffle de vie, vers l’essentiel, afin de renouer avec une certaine paix intérieure. Tout mon « mal être » n’était pas disparu après cette pratique de 60 minutes, ce n’est pas toujours 100% magique, mais je me sentais vraiment mieux. Apaisée et mieux disposée à reprendre mon travail et mes engagements.
C’est à ça que sert la pratique régulière (quotidienne) du yoga et de la méditation, à avoir le réflexe de se servir de ces outils quand ça ne va pas. La constance de la pratique, à travers jours sombres et jours lumineux, développe ce réflexe. Je me sers de ces outils dès que le besoin se fait sentir. Je n’attends pas l’urgence, la panique, le bord du gouffre. Et ça me fait tellement de bien physiquement. Et ça me fait tellement de bien mentalement. Ouf, je respire mieux.
Toi, as-tu tes outils pour te sentir mieux? T’en sers-tu? As-tu la discipline (mot employé aussi de façon positive) de pratiquer ton yoga régulièrement et de faire ta méditation quotidiennement?
Ça marche pour continuer à avancer sereinement dans notre chemin de vie. Promis. Je l’ai vécu. Je le vis. Je peux en témoigner. Je le confirme.
Namaste.
💚

Méditer dans le bruit…? 🧘🏼‍♀️

Pour méditer…On privilégie l’endroit le plus calme et on essaie de faire en sorte d’être dérangé le moins possible. En même temps, le bruit n’est pas un obstacle à la pratique.
Je me rappelle lorsque j’étais petite que ma mère pouvait méditer n’importe où. Bruit ou pas. Il n’était pas question qu’elle manque sa « médit » quand l’heure était venue. Si nous étions à la maison, bien sûr elle allait dans sa chambre pour méditer mais si nous étions à l’extérieur, elle pouvait méditer aussi bien sur un banc d’un centre d’achats que dans la voiture pendant un voyage familial. Malgré l’action autour, elle se « retirait » à l’intérieur d’elle-même pour son temps d’arrêt.
Il y a quelques jours, en après-midi, lorsque je me suis assise pour méditer, tous les bruits ont commencé…construction, perceuse, portes qui claquent, je vous épargne les détails de la liste…mais il y avait du bruit!
« Bon…qu’est-ce que je fais? », me suis-je questionnée l’espace d’un instant.
Je suis restée assise tranquillement dans ce défi qui m’était présenté. Je me suis dit que finalement « la vie » en général était bruyante! Et pas juste avec des bruits extérieurs, mais aussi avec les bruits intérieurs, créés par toutes ces situations et expériences que nous vivons. Et par toutes ces vagues d’émotions que nous ressentons! Alors raison de plus pour rester là, assise, pour trouver le calme sous la couche superficielle, profondément à l’intérieur de moi.
J’y suis arrivée! Mon esprit m’a chuchoté: « c’est pour ça que je médite, pour trouver le calme physique, mental, émotionnel et spirituel. » J’ai remercié pour cet instant et pour cette agréable confirmation.
Aaaaahhh! Que j’aime méditer!
Note: Le plus drôle c’est que 30 minutes après la fin de ma méditation, tous les bruits s’étaient « éteints » comme par enchantement. Faut croire que tout le monde avait finalement terminé son brassage. Comme quoi j’avais quelque chose à réaliser à ce moment-là! Dans ce 20 minutes bruyant.

Je suis en PAIX physiquement 🧘🏼‍♀️ Et vous?

J’ai eu cette réflexion apaisante durant ma pratique de yoga hier. Vous savez celle du dimanche dont je vous parle souvent? Alors j’y ai réalisé que j’étais en paix physiquement. Je m’explique. Je sens et j’accepte les limites de mon corps: l’arrière d’une jambe qui est plus tendu, une hanche qui offre moins d’ouverture, une posture s’exprimant complètement différemment d’un côté par rapport à l’autre, des asanas mises de côté par respect pour mon corps, etc. Vous comprenez? Je fais ma pratique de yoga dans un flot continu d’ajustements et de prises de conscience. Je suis connectée. Et en PAIX avec ce que mon corps m’offre comme possibilités. Dans CE moment.
Je fais de la musculation aussi depuis des dizaines d’années maintenant (et j’AIME ça!). Mon corps musclé n’a pas la souplesse de celui d’une ancienne gymnaste ou d’une danseuse pratiquant le yoga. Mais c’est mon corps, ses possibilités, et ça me satisfait totalement.
Il y a quelques années, alors que je participais à un atelier de yoga afin d’augmenter mes connaissances, la formatrice (très reconnue) avait fait plusieurs commentaires désobligeants sur mon corps et ma façon de faire les postures, et ça devant tout le monde. Je crois qu’elle connaissait pas mal tous les participants du groupe et moi j’étais la petite « intruse ». Des exemples? Dès la première posture de la formation, supta virasana (le héros couché sur le dos), elle a dit: « Ah les p’tites cuisses d’athlète » insinuant que mes cuisses étaient contractés et que mes genoux ne se déposaient pas au sol autant que ceux des autres…À un autre moment, alors que nous travaillions en petits groupes, elle est arrivée dans le mien et a dit en me regardant à la volée: « Moi avant j’avais un corps comme ça mais je me suis tannée d’avoir mal partout alors… » J’étais abasourdie. WoW il me semble que ça ne fait pas très yogique des paroles comme ça… Je peux vous confirmer que ça m’a marquée. Vraiment. Et non, je n’ai pas fait d’autres formations avec elle!…
Ce sont des souvenirs qui me sont revenus dans ma pratique de yoga d’hier. Et je me suis dit que moi je l’aimais mon corps, avec ses limitations, ses raideurs, ses résistances mais aussi avec sa force et ses grandes capacités. Depuis des années je focalise sur ce qu’il peut accomplir avec un défi raisonnable, plutôt que de le pousser et lui faire mal. Oui, je suis en PAIX avec tout ça. ☯️
Et pour vous? Comment ça se passe physiquement? Vous n’êtes pas obligés de répondre sur cette page, bien que si vous en avez envie allez-y!, mais j’espère initier ne serait-ce qu’une petite réflexion sur le sujet.
💚 LOVE 💚

Ce qu’il est vraiment…

Le yoga est une discipline vieille de plus de 5000 ans qui est d’abord apparue en Inde. Le mot « yoga », d’origine sanskrite, signifie « unir ». La pratique du yoga permet en effet d’établir un lien puissant entre votre environnement extérieur et votre vie intérieure tant sur le plan physique que mental.

L’essence de la pratique du yoga selon YogaFit est de:

  • respirer; 
  • ressentir;
  • écouter et respecter son corps; 
  • abandonner le jugement, la compétition, les attentes trop élevées envers les autres et envers soi-même;
  • demeurer dans le moment présent. 

À la lecture de ce qu’est l’essence du yoga, on constate que ce n’est pas un sport. C’est plutôt une pratique spirituelle. Qui n’a rien de religieux pour autant. C’est une pratique qui donne l’occasion de se retrouver, de se déposer, de se connaître. Une pratique qui donne la possibilité d’apprendre à s’accepter, à se respecter, à s’aimer.

La pratique occidentale du yoga donne beaucoup d’importance à l’aspect physique de la pratique. En faisant entre autre miroiter l’obtention d’un physique attrayant par le biais d’une pratique intense et exigeante. Ceci est en quelque sorte une dénaturation de la discipline qui est en vérité tout le contraire: une pratique individuelle, sans prétention, loin de toute performance. 

Le yoga va bien au-delà de la pratique purement physique, de la pratique des postures (asanas). Alors oublions l’excuse: « je ne suis pas assez souple pour faire du yoga »! Le yoga s’adapte à vous, à votre condition physique et à vos capacités. Comme le yoga englobe aussi des éléments tels que la respiration, la concentration, la méditation et des règles de vie, il existe plusieurs façons de pratiquer le yoga, de « vivre » en yoga.

Le yoga : ses bienfaits

Le yoga est sans contredit une belle discipline dont les bénéfices sont nombreux. En voici quelques-uns prouvés par des études:

  • Diminution des problèmes reliés à l’arthrite, au diabète, à l’hypertension
  • Augmentation de la flexibilité
  • Augmentation de la force et de l’équilibre
  • Augmentation de l’énergie et de l’endurance
  • Aide au maintien d’un poids santé
  • Diminution et apaisement des douleurs chroniques
  • Meilleur fonctionnement du système immunitaire
  • Amélioration de la fonction respiratoire
  • Amélioration du sommeil
  • Augmentation du bien-être mental
  • Aide au traitement de la dépression
  • Diminution du stress et de l’anxiété
  • Amélioration de la gestion des émotions

Les bienfaits de la pratique régulière du yoga s’expriment donc au point de vue physique, mental et émotionnel. Elle permet de développer l’endurance, la force et la souplesse tant physique que mentale.

Le yoga : du tapis à un mode de vie

Présenté dans un cadre paisible, le yoga permet de découvrir, à son propre rythme, l’effet libérateur et bienfaisant de l’exercice et de la respiration consciente.

Il vous amène dans un véritable processus de transformation. Vous apprenant à doser efficacement votre énergie, à avoir davantage confiance en vous, à trouver plus de calme et de sérénité à travers votre souffle pour finalement vous conduire vers plus de clarté d’esprit et de bonheur. On apprend beaucoup sur son tapis: des leçons que l’on transpose ensuite dans sa vie. Le yoga est pour plusieurs un mode de vie et il est assurément un chemin philosophique très riche.

Ce qu’est le yoga pour moi…

Depuis plus de 20 ans, je pratique et enseigne le yoga. Cette merveilleuse discipline est pour moi synonyme de liberté, d’honnêteté, d’introspection et de bien-être. Sur mon tapis, au moment de ma pratique personnelle, je me permets d’être qui je suis, comme je suis, et je laisse le monde être tel qu’il est à ce moment-là. Pour moi, chaque séance devrait être un moment de plénitude où chacun permet à sa vraie nature de s’exprimer et à ses besoins véritables d’être respectés.

La compassion

La compassion est le sentiment qui porte à plaindre autrui et à partager ses souffrances. C’est la définition littérale du dictionnaire. Comment définit-on, comment vit-on la compassion dans notre quotidien?

Nous sommes le 13 janvier 2022. Nous sommes en pandémie de COVID-19 depuis bientôt 3 ans. Présentement en pleine 5e vague! Et j’ai envie de réfléchir, de méditer, d’écrire et de m’exprimer sur la compassion.

Ressentir de la compassion pour autrui, c’est comprendre et être sensible à ce que cette personne vit, ses tourments, ses problèmes, sa souffrance sans la vivre à sa place. On peut être heureux et bien et ressentir de la compassion pour ce que vivent les autres. La compassion est une émotion qui nous donne l’opportunité d’être attentif aux autres, de mieux les comprendre et de mieux vivre avec eux.

En ce temps de pandémie qui perdure, nous sommes las, fatigués, impatients, parfois (ou souvent…) en colère vis-à-vis le comportement de certains individus.  Pour ma part, la fermeture de notre Studio de yoga et de mise en forme pour la Xe fois, pèse lourd. Ça suscite du questionnement, des remises en question, du découragement.

Mais…tout à coup je réalise que ce que vivent d’autres personnes est bien pire.

Tous ces gens qui souffrent en attendant d’être soignés, d’être opérés, d’êtres soulagés, d’être sauvés. My God! Je vous dis que ça replace les choses en perspective. Ça me touche vraiment et ça me bouleverse. Ma conscience s’élargit.

J’ai ceci à proposer : transformer toute notre colère, notre animosité, notre fatigue, notre impatience, nos paroles négatives en pensées d’amour et de compassion. Ces pensées, ces ondes, seront assurément plus utiles et nous nous sentirons tous un peu mieux je crois. Même si on ne peut rien changer personnellement à certaines situations, ce serait plus sain.

Alors à la personne que j’aime (et ça m’inclut), je dis:

« Puisses-tu être bien, heureux et en sécurité

Puisse ton coeur être ouvert et rempli de bienveillance

Puisses-tu faire l’expérience de la paix véritable dans ta vie. »

 

À la personne que je croise sur la rue et qui m’est inconnue, je dis:

« Puisses-tu être bien, heureux et en sécurité

Puisse ton coeur être ouvert et rempli de bienveillance

Puisses-tu faire l’expérience de la paix véritable dans ta vie. »

 

À la personne qui m’a déçue ou blessée, je dis:

« Puisses-tu être bien, heureux et en sécurité

Puisse ton coeur être ouvert et rempli de bienveillance

Puisses-tu faire l’expérience de la paix véritable dans ta vie. »

 

À tous les êtes vivants, je dis:

« Puisse tous les êtres être bien, heureux et en sécurité

Puisse tous les êtres avoir leur coeur ouvert et rempli de bienveillance

Puisse tous les êtres faire l’expérience de la paix véritable dans leur vie. »

La compassion ce n’est pas seulement dans les livres, ce n’est pas seulement pour Buddha ou pour les moines. La compassion c’est pour tout le monde. Pour une meilleure vie en société, commençons aujourd’hui à transformer nos jugements et pensées non-constructives en pensées d’amour, de compréhension et de compassion.

Lisez-vous plein de beaux livres, doux pour l’âme, qui vous décrivent les bienfaits de la méditation, l’influence impressionnante et positive qu’elle peut avoir sur votre vie?

Lisez-vous tellement sur la méditation que vous en oubliez de la pratiquer?

Arrêtez.

Méditez.

Rien ne remplace la chose même. Tous les beaux livres qui garnissent votre bibliothèque, toutes les belles phrases et citations que vous lisez puis que vous transcrivez sur un « post-it » afin de vous les rappeler, toutes les vidéos et visioconférences que vous regardez…Rien de cela ne remplace et ne vous donnera ce que la PRATIQUE de la méditation procure.

La méditation, il faut l’expérimenter, il faut la vivre.

Tout comme regarder une mangue, ou décrire ce fruit fabuleux, n’est jamais comme de la goûter, lire sur la méditation ou écouter de beaux témoignages ne vous en apportera jamais tous les bénéfices.

Méditez régulièrement, quotidiennement. C’est de cette façon que vous ressentirez l’action bienfaisante et transformatrice de la méditation. Le calme qu’elle apporte, l’occasion d’arrêter qu’elle offre, l’espace de liberté qu’elle procure, la connaissance de soi qui en découle.

Nul besoin d’augmenter toujours le temps que vous lui consacrez. Soyons RÉALISTES, nous ne vivons pas en monastère. Quinze à vingt minutes, une à deux fois par jour, c’est suffisant. Et c’est facilement insérable dans nos journées, soyons HONNÊTES. En demeurant réalistes et honnêtes, vous pouvez le faire. Laissez-la performance de côté, l’important c’est de méditer. Un point c’est tout.

Est-ce que manger douze mangues plutôt qu’une en améliore le goût? Non. Idem avec la méditation, vous en aurez les bienfaits en pratiquant régulièrement et sûrement. En vous imposant des objectifs irréalistes, vous risquez de tout arrêter.

Alors…

Posez vos livres. Fermez vos appareils électroniques. Allez-y simplement. Méditez.

Appréciez. Découvrez. Recommencez.

Je viens de terminer une belle méditation.

Une méditation de pleine conscience à la respiration.

C’est la façon de méditer que je préfère.

En raison du silence.

Ce silence est relatif car il y a tout le bruit de mon environnement, du Monde qui s’active en ce début de journée.

Mais pour moi c’est quand même le silence.

J’ai l’impression de mettre mon monde sur pause. J’ai l’impression de suspendre le temps.

J’adore ça. Je suis bien. Je me trouve chanceuse.

Ah bien sûr les idées et les pensées vont et viennent dans mon esprit!…mais je sais que ça fait partie de ma méditation. Quand je m’aperçois qu’une pensée m’amène en réflexion ou qu’une idée capte mon intérêt, je choisis de revenir vers ma respiration, vers la sensation physique de respirer. J’aime ce petit jeu d’aller et de retour, il me fait sourire, plus présent certains jours que d’autres. Ça ne m’empêche nullement d’être bien, de vivre pleinement le moment présent, d’apprécier ce temps d’arrêt.

C’est un moment béni de ma journée.

Je suis reconnaissante de connaître et de pratiquer la méditation. Je remercie les personnes qui m’ont enseigné et qui m’ont inspiré.

Bonne journée Marianne!
Et bonne journée à vous qui me lisez!

Extrait d’un livre du célèbre auteur américain Norman Vincent Peale. Très inspirant.

Conservez votre énergie; autrement dit n’emballez pas votre moteur.

a) Éviter la fièvre. Travaillez, mangez, amusez-vous tranquillement;
b) N’abusez pas de vos forces, tant pour le plaisir que pour le travail;
c) Soyez modéré en tout;
d) N’hésitez pas à refuser des tâches inutiles et fastidieuses.

Restez calme et serein. Bannissez l’agitation et le tracassin; évitez de vous laisser entrainer inutilement dans des situations malsaines.

a) Le passé est le passé;
b) Faites de votre mieux aujourd’hui et restez-en là;
c) Ne vous inquiétez pas pour demain. À chaque jour suffit sa peine et ce que l’on redoute se produit rarement;
d) Mettez votre confiance en une Puissance Supérieure et oubliez toute crainte. Elle vous conduit selon ses desseins. Alors, qui peut être contre vous?

Le repos d’esprit et avec lui le pouvoir de vivre plus et efficacement sont à votre portée.

Ce texte est tellement touchant. À lire et à relire…

« J’ai pardonné des erreurs presque impardonnables.
J’ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables,
J’ai essayé d’oublier des personnes inoubliables.
J’ai agi par impulsion.
J’ai été déçu par des gens, mais j’ai déçu aussi.
J’ai enlacé pour protéger.
J’ai ri quand il ne fallait pas.
Je me suis fait des amis éternels.
J’ai aimé et ai été aimé.
Mais j’ai aussi été rejeté.
J’ai été aimé et je n’ai pas su aimer en retour.
J’ai crié et sauté de joie,
J’ai vécu d’amour et fait des promesses éternelles.
Mais je n’ai pas tenu certaines.
J’ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos.
J’ai téléphoné juste pour entendre une voix.
Je suis tombé amoureux d’un sourire.
J’ai cru mourir de tristesse.
J’ai eu peur de perdre un être très cher …et je l’ai finalement perdu.

Mais j’ai survécu. Et je vis encore !

Je ne passe pas par la vie, sans la savourer.
Et toi non plus, tu ne devrais pas.
Alors….
Vis, profite et saisis les opportunités !
Sois déterminé, embrasse la Vie et vis avec passion !
Perds avec classe et gagne avec courage !
Le monde appartient à celui qui ose.
Et la vie a trop de valeur pour se sentir sans importance. »

(Charlie Chaplin)

Connaissez-vous le test des 3 passoires de Socrate? Il inspire une belle et grande réflexion. Voyez par vous-même…

 

Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute réputation de sagesse.

Quelqu’un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dire:

« Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami? »
– Un instant, répondit Socrate, avant que tu ne me racontes tout cela, j’aimerais te faire passer un test très rapide.

Ce que tu as à me dire, l’as-tu fais passer par le test des trois passoires?
– Les trois passoires?

– Mais oui, reprit Socrate. Avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l’on aimerait dire.

C’est ce que j’appelle le test des trois passoires.

La première passoire est celle de la vérité.
As-tu vérifié si ce que tu veux me raconter est vrai?
– Non, pas vraiment. Je n’ai pas vu la chose moi-même, je l’ai seulement entendu dire…- Très bien! Tu ne sais donc pas si c’est la vérité. Voyons maintenant si nous pouvons filtrer autrement, en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté.
Ce que tu veux m’apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bien?
– Ah non! Au contraire!
– Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n’es pas sûr si elles sont vraies. Ce n’est pas très prometteur!
Mais tu peux encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l’utilité. Est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait?
– Utile? Non pas réellement, je ne crois pas que ce soit utile…
-Alors, de conclure Socrate, si ce que tu as à me raconter n’est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire?
Je ne veux pas l’entendre et, de ton côté, tu ferais mieux d’oublier tout cela!